Photo : Gracieuseté de Jaimie Seaton
Quand j’étais jeune fille, j’ai demandé à ma mère si accoucher était horriblement douloureux. Elle m’a dit que oui, mais c’était une si belle expérience qu’on oublie la douleur.
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Je me suis souvenu des paroles de ma mère quand je suis tombée enceinte de mon premier enfant à 35 ans, et j’espérais qu’elles seraient vraies. Alors que mon mari et moi nous préparions pour la naissance de notre fille, nous lisons des livres Plus j’apprenais, plus je devenais sceptique quant à l’idée que la beauté pouvait vaincre la douleur. L’accouchement peut être beau, mais j’allais quand même pousser une tête et des épaules dans mon vagin.
J’ai décidé que si la douleur devenait insupportable, j’aurais une péridurale. J’avais lu de nombreuses histoires sur des femmes qui accouchent naturellement sans anesthésie, mais je savais que je n’étais pas ce genre de femme. Pour être honnête, cette femme qui était sur le point de donner naissance à un bébé était elle-même un peu un bébé. Une péridurale serait mon as dans un trou, ma grâce salvatrice ; un moyen d’accoucher sans douleur pendant lequel mon mari et moi nous regarderions dans les yeux et verserions des larmes de joie (OK, peut-être que j’étais trop optimiste)…related-article-block{display:inline-block;width:300px;padding:0.5rem;margin-left:0.5rem;float:right;border:1px solid #ccc}@media (max-width : 525px){.related-article-block{float:none;display:block;width:280px;margin:0 auto 2rem}}}}
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